Antagoniste
Bon, en gros, c’est le casse-pieds de l’histoire. Pas forcément le “méchant” cliché avec rire diabolique, hein, mais il vient clairement compliquer la vie du héros. Il veut autre chose, ça frotte, ça bloque. Et sans lui ? Bah, pas de piment, pas de suspense. Ce serait un peu comme regarder un match sans équipe adverse. Bof.

Arc narratif
Alors là, on parle du chemin personnel d’un personnage. Ses hauts, ses bas, ses galères et ses petits moments de gloire. C’est comme suivre quelqu’un sur Insta mais version vraie vie : tu le vois évoluer, tomber, se relever (ou pas). Et c’est ça qui rend l’histoire vivante.

Atmosphère
L’ambiance, quoi. Ce petit truc qui te met direct dans le bain. Que ce soit pesant, doux ou carrément flippant, c’est ce qui colore le récit. Un peu comme la lumière dans un film : sans qu’on y pense, ça change tout.

Backstory
Le passé qu’on découvre petit à petit. Ces souvenirs, ces cicatrices invisibles qui expliquent pourquoi un perso agit comme ça aujourd’hui. C’est là qu’on capte qu’il est plus qu’un pion dans l’histoire. Il a vécu. (Et ça, ça change tout.)

Biographie
Raconter une vie, oui, mais pas juste balancer des dates en mode Wikipédia. C’est entrer dans le vécu, le ressenti. Faire ressortir l’humain derrière les événements. Un bon bio te fait presque entendre la voix de la personne.

Book Haul
Un vrai petit plaisir de lecteur : montrer ses dernières trouvailles, dire “j’ai pris ça parce que…” et papoter avec d’autres. C’est un peu comme déballer des cadeaux qu’on s’est offerts soi-même (et c’est totalement OK).

Cadre
C’est le décor, le lieu, le temps. Ça pose l’ambiance, ça donne du poids à l’histoire. Genre, une aventure en plein Paris 1900, ça n’aura pas du tout la même vibe qu’en banlieue en 2025. Forcément.

Catastrophe
Le moment où tout part en vrille. Un drame, une grosse tuile, et là, les persos sont dos au mur. C’est brutal, ça remet les choses à plat et ça relance la machine. (Souvent, c’est là qu’on sort le pop-corn.)

Chapitre
C’est comme les stations d’un voyage. Ça coupe, ça rythme, ça te dit : “OK, respire un peu, mais reste avec nous.” Sans chapitres, on se noierait vite dans le flot de l’histoire.

Cliffhanger
Le fameux : “Mais qu’est-ce qui se passe après ?!” C’est cruel, mais tellement efficace. Tu fermes le livre ? Non. Tu continues. (Et voilà comment on lit jusqu’à 2h du matin.)

Climax
L’apothéose. Tout ce qu’on attendait explose enfin : tensions, révélations, choix décisifs. C’est LE moment où tout se joue. Et souvent, c’est là qu’on retient son souffle.

Conflit
Sans ça, c’est plat. Le conflit, c’est l’ingrédient magique : des envies opposées, des visions qui s’entrechoquent. C’est ce frottement qui fait des étincelles et nous scotche à l’histoire.

Conte
Un récit court, simple en apparence, mais qui cache toujours une leçon ou une petite morale. C’est un peu comme ces vieilles histoires qu’on connaît tous sans savoir d’où elles viennent.

Déclencheur
Le fameux “événement qui fout tout en l’air”. Le héros vivait peinard ? Hop, ça bascule. Ce moment, c’est le point de départ du vrai voyage.

Dialogue
Les échanges entre persos. Ça sonne faux ? On décroche. Mais quand c’est bien écrit, ça pulse, ça dévoile des caractères, ça avance l’histoire sans qu’on s’en rende compte. (Un peu comme dans les bons films.)

Dilemme
Un choix cornélien. Pas de bonne solution, juste des galères à choisir. C’est là qu’on découvre la vraie nature des personnages. (Et qu’on se demande : “Et moi, j’aurais fait quoi ?”)

Écrivain
Le magicien des mots. Il invente des mondes, des vies, juste avec son imagination. Parfois, il fait rêver. Parfois, il bouscule. Mais toujours, il nous emmène ailleurs.

Éditeur
Le complice de l’auteur. Il affine, il booste, il aide à transformer le brouillon en livre qu’on a envie de lire. C’est aussi lui qui le fait connaître. (Un rôle de l’ombre, mais essentiel.)

Ellipse
Hop, un saut dans le temps. On zappe les longueurs, on passe à l’essentiel. Et c’est pas plus mal. (Le lecteur remplit les blancs tout seul.)

Énigme
Ce petit mystère qui titille la curiosité. On veut savoir. On cherche les indices. C’est ça qui nourrit le suspense.

Épilogue
Un dernier coup d’œil après la fin. Pour savoir ce que deviennent les personnages. Un peu comme ces scènes post-générique dans les films Marvel.

Essai
Un texte où l’auteur pose ses idées, partage ses réflexions. C’est pas juste pour convaincre, c’est pour faire réfléchir, ouvrir le débat.

Exposition
Le début où on plante le décor, on présente les persos. C’est la rampe de lancement. Faut pas trop traîner, mais faut donner envie de suivre.

Flashback
Retour en arrière pour éclairer le présent. On découvre un souvenir, un événement clé. Ça donne du relief à l’histoire. (Et souvent, ça change notre regard.)

Genre
La grande famille de l’histoire : polar, fantasy, romance, SF… Chaque genre a ses codes, mais on peut toujours jouer avec.

Héros
Le perso qu’on suit. Pas parfait, mais c’est lui qui porte l’histoire. C’est avec lui qu’on vibre, qu’on doute, qu’on espère.

Intrigue
Le fil rouge de l’histoire. Ce qui relie tout, donne du sens, maintient l’intérêt. Une bonne intrigue, c’est un piège doux : on veut pas en sortir.

Ironie
Dire le contraire pour mieux faire passer un message. C’est subtil, c’est piquant, ça fait sourire tout en titillant les neurones.

Manuscrit
La version brute d’un livre. Celle qu’on corrige, qu’on retravaille. C’est le chantier avant le bijou final.

Métaphore
Une image qui dit plus qu’un long discours. Elle frappe l’imaginaire, elle reste en tête. (Souvent plus efficace qu’un paragraphe d’explications.)

Monologue
Quand un perso se parle à lui-même. On entre dans sa tête, sans filtre. C’est intime, parfois brutal. Mais toujours révélateur.

Mythe
Ces histoires qui viennent du fond des âges. Elles expliquent le monde, les valeurs, les grandes questions. Et elles parlent encore à notre époque.

Narrateur
La voix qui raconte. Il peut être perso ou extérieur. Son regard change tout : ce qu’on sait, ce qu’on ressent. C’est lui qui tient la lampe de poche.

Nouvelle
Une petite histoire qui tape fort. Pas le temps de flâner, ça va à l’essentiel. C’est un peu comme un shot de fiction : court, mais ça laisse sa trace.

Oxymore
Tu prends deux mots qui n’ont rien à faire ensemble, et bim, ça crée une image marquante : « silence assourdissant », « obscure clarté ». Ça fait tilt dans la tête.

Parodie
On imite, on exagère, et souvent, ça fait rire. Mais ça fait aussi réfléchir, mine de rien. Une parodie, c’est un clin d’œil moqueur, pas méchant, mais piquant.

Personnage
Le cœur battant d’une histoire. Qu’il soit sympa, détestable, paumé ou génial, peu importe. Ce qu’on veut, c’est qu’il soit vivant, crédible, qu’il nous fasse ressentir des trucs.

Perspective
C’est la paire de lunettes qu’on nous file pour lire l’histoire. Voir à travers les yeux d’un perso ou avoir une vue d’ensemble, ça change la donne. (C’est un choix stratégique.)

Plagiat
Copier sans dire merci. Voler le taf des autres. C’est moche, c’est lâche. Et en plus, ça finit toujours par se voir.

Poésie
Quand les mots dansent. Pas besoin de longues phrases : quelques vers bien sentis peuvent dire plus que des pages entières. C’est l’art de faire court mais intense.

Protagoniste
Le héros, ou plutôt “le personnage qu’on suit de A à Z”. C’est son histoire, son chemin. On est là pour lui, même si c’est pas un super-héros.

Prologue
Un petit prélude, histoire de poser l’ambiance ou donner une info clé avant de vraiment plonger dans l’histoire. C’est comme une mise en bouche.

Public cible
À qui on parle. Des ados ? Des adultes fans de polar ? Des amateurs de SF ? Connaître son public, c’est savoir comment lui raconter son histoire. (Mais ça veut pas dire se brider.)

Quête
C’est pas juste aller chercher un truc. Derrière l’objectif, y’a toujours une transformation intérieure. C’est un voyage, dehors et dedans.

Réalisme
Raconter la vraie vie, sans fioritures. Pas de dragons, pas de magie, mais ça veut pas dire ennuyeux. C’est juste coller au plus près de ce qu’on connaît. (Et parfois, c’est ça le plus fort.)

Récit
C’est le fil de l’histoire, tout simplement. Ce qu’on raconte, du début à la fin. Le fameux : “Alors, c’est l’histoire de…”

Redondance
Répéter, parfois trop, parfois juste ce qu’il faut. Si c’est bien dosé, ça appuie une idée, ça donne du rythme. Sinon, ça plombe le texte. (Tout est une question d’équilibre.)

Refrain
La petite phrase qui revient, en chanson ou en poésie. Ça marque, ça crée une mélodie, ça donne du poids à l’émotion.

Révélation
Le moment où on comprend enfin. Un secret qui sort, un détail qui change tout. Et là, on voit l’histoire sous un autre angle. (Effet garanti.)

Roman
Le gros format. Là, on prend le temps : personnages fouillés, intrigues complexes. C’est un long voyage, où on s’installe confortablement.

Sarcophage
Pas juste une boîte pour momie. Ça évoque le mystère, l’histoire ancienne, les secrets enfouis. C’est un symbole chargé d’imaginaire.

Scène
Un petit morceau d’histoire, bien cadré. C’est là que ça se passe : les dialogues, les actions, les confrontations. Chaque scène doit avoir sa raison d’être.

Similitude
Comparer pour mieux faire comprendre. Genre : “Il était froid comme la glace.” Ça parle direct à l’imaginaire.

Slogan
Une phrase choc, facile à retenir, qui résume une idée forte. En littérature, c’est souvent la phrase qu’on voit en quatrième de couverture pour accrocher le lecteur.

Sous-intrigue
Une mini-histoire dans la grande. Ça donne du relief, ça développe les personnages, ça enrichit l’univers. (C’est un peu comme les quêtes annexes dans un jeu vidéo.)

Suspense
Ce petit frisson d’incertitude. On veut savoir la suite, on tourne les pages avec fébrilité. C’est l’arme secrète pour garder le lecteur accro.

Synopsis
Un résumé clair et concis de l’histoire. On présente les grandes lignes sans tout spoiler. C’est l’appât pour donner envie de lire.

Symbolisme
Un objet, une couleur, une image qui dit plus qu’il n’y paraît. C’est une couche de sens en plus, pour ceux qui aiment creuser.

Thème
Le sujet de fond. Ce qui relie tous les éléments de l’histoire. L’amour, la liberté, la vengeance… C’est le cœur du message.

Tragédie
Quand le destin s’acharne et que, malgré tous les efforts, la chute semble inévitable. C’est intense, c’est brutal, mais ça touche profondément.

Transition
Le petit pont entre deux scènes, deux chapitres. Elle évite les coupures trop sèches et rend la lecture fluide. (On la remarque pas, mais elle est essentielle.)

Twist
Le retournement de situation qui te fait dire : “Ah mais non, j’avais rien vu venir !” C’est un plaisir de lecture quand c’est bien fait.

Univers
Le monde de l’histoire. Qu’il soit réaliste ou fantastique, il doit être crédible, avec ses règles, ses détails. C’est ce qui fait qu’on y croit.

Utopie
Le monde parfait… en théorie. Parce que souvent, en grattant un peu, on se rend compte que c’est pas si idyllique. C’est un miroir tendu à notre propre société.

Verve
Cette énergie dans l’écriture. Ce petit truc qui fait qu’un texte a du peps, du caractère. C’est la personnalité de l’auteur qui transparaît.

Vraisemblance
Même dans la fiction la plus folle, il faut que ça tienne debout. Que le lecteur y croie. Sinon, ça casse la magie.

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